FRANCE

Le box office du cinéma en France

box office du 22 mars 2023

Sur les chemins noirs

Sur les chemins noirs

438 142 entrées

1

box office du 15 mars 2023

Creed 3

Creed 3

385 517 entrées

1

box office du 8 mars 2023

Creed 3

Creed 3

503 413 entrées

1

box office du 1 mars 2023

Creed 3

Creed 3

1 105 921 entrées

1

box office du 22 février 2023

Alibi.com 2

Alibi.com 2

798 133 entrées

1

box office du 15 février 2023

Alibi.com 2

Alibi.com 2

1 007 416 entrées

1

box office du 8 février 2023

Alibi.com 2

Alibi.com 2

1 017 788 entrées

1

box office du 1 février 2023

Astérix et Obélix : L'Empire du milieu

Astérix et Obélix : L'Empire du milieu

1 882 686 entrées

1

box office du 25 janvier 2023

Avatar 2 : la voie de l'eau

Avatar 2 : la voie de l'eau

514 002 entrées

1

Editorial

Le box office français est un classement hebdomadaire des meilleurs films basé sur le nombre d’entrées en salles. Il est actualisé chaque semaine en prenant compte non seulement les entrées de la semaine précédente mais également des entrées globales. Il est fait mention du nombre de semaines durant lesquelles un film est à l’affiche afin d’avoir des chiffres tout à fait complets. Il existe également un classement des productions qui ont fait le plus d’entrées au cinéma depuis les années 50. L’intérêt de ce classement est multiple. Il informe et oriente les spectateurs et guide les producteurs sur le type de film au cinéma qui séduira le public.

Les spectateurs sont influencés par les films qui marchent au cinéma. Le succès engendre le succès, c’est ainsi que certaines réalisations affichent un nombre d’entrées qui dépasse le million. Pour les producteurs, il est intéressant de comprendre quel genre les spectateurs apprécient afin de produire des films en conséquence. Ainsi s’aperçoit-t-on que les plus gros succès français en France sont des comédies tandis que les productions américaines qui séduisent les Français sont plutôt des films à grand spectacle. Cependant, le box office, si utile puisse-t-il être, est quelque peu tronqué. Il ne tient pas compte du budget que les producteurs ont engagé. De plus, si l’on considère le classement depuis les années 50, on s’aperçoit que certains paramètres comme la démographie, la multiplication des cinémas et les cartes d’abonnement ne sont pas considérés.